Personne sans doute ne se rend compte qu’il existe autant de possibilités en termes d’escalier avant d’être confronté au problème. Que faut-il savoir de l’escalier quart-tournant bas pour être certain d’opter pour la bonne structure ?
Escalier ¼ tournant bas : de quoi s’agit-il ?
L’escalier quart-tournant bas fait partie de la famille des escaliers tournants et plus particulièrement de la catégorie des escaliers quart-tournant (il existe aussi les ½ tournant).
Constitué de deux volées de marches interrompues par un angle, ce dernier peut se situer à différents endroits selon la configuration des lieux ou encore le souhait du propriétaire. Dans le cas présent l’angle se situe en partie basse. Mais il peut se situer au milieu de l’escalier ou encore en haut.
L’angle à 90° peut comporter ou non un palier intermédiaire et se situer à gauche ou à droite ; ce point étant influencé par la position de l’escalier dans la pièce.
Tous ces éléments sont à transmettre à un escaliéteur si l’on sait que l’on souhaite ce type d’escalier.
En cas de doute, notamment quand on rénove une bâtisse ancienne dont on a abattu un escalier vétuste ou trop raide, il est primordial de bénéficier d’un accompagnement. Même si cela suppose des travaux, il est parfois recommandé de déplacer la trémie ((l’ouverture pratiquée dans le plafond pour installer l’escalier) dans le but que la montée et la descente se fassent de manière plus aisée.
Le choix de l’escaliéteur peut être dicté par celui du matériau que l’on souhaite prendre pour son futur escalier. Comme nous allons le voir, le design ; s’il a son importance ; n’est pas le seul élément à considérer pour avoir une structure parfaite chez soi.
Prendre le bon escalier: les éléments dont il faut tenir compte
Comme dit, avoir un bel escalier chez soi n’est pas anodin : c’est une structure que l’on va voir pendant des décennies le plus souvent, surtout si l’on a pris le temps de bien la choisir, notamment en ce qui concerne le matériau.
C’est assurément le bois qui continue à remporter tous les suffrages auprès des propriétaires. Loin de l’image vieillotte que l’on peut s’en faire, il a su se moderniser pour ceux qui le souhaitent, tout en restant authentique et chaleureux. Son entretien est facilité par la possibilité de le vitrifier, ce qui permettra de le nettoyer facilement avec une serpillère à peine humidifiée. Même si une marche venait à présenter un défaut, il est relativement facile de la faire remplacer par un professionnel.
Le choix des autres matériaux doit être soupesé, en fonction de leurs points faibles. Il faut oublier l’habitude de descendre pieds-nus si l’on opte pour un escalier en acier ou encore en pierre naturelle. Les escaliers en aluminium ne sont faits que pour un usage ponctuel (accéder à des combles par exemple) et l’acier et le fer forgé coûtent très cher, surtout si l’on souhaite un escalier ouvragé.
Le verre permet bien entendu de conserver une parfaite luminosité dans la pièce mais certaines personnes, prises de vertige et en perte de repères seront tout à fait incapables de l’emprunter.
Reste la pierre naturelle que l’on voit parfois dans les magazines de décoration, s’affichant dans des chalets à la montagne. Il est certain qu’elle apporte un côté vraiment rustique mais au prix d’un entretien rigoureux. Elle n’absorbe pas les taches (de gras, de sauce…) que si on l’imperméabilise avec des produits chimiques et ce, relativement régulièrement. Il faut donc avoir toutes ces choses en tête avant de céder à leur beauté.
Si on souhaite les faire apparaitre, pourquoi pas en complément du bois qui se marie avec bon nombre d’entre eux en contremarches ou en tour de marches ?
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